Rosée du ciel 30 du 13/09/2017
Très chers Partenaires pour la Vie
« Que dit-elle donc? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. Or, c’est la parole de la foi, que nous prêchons » (Romains;10:8).
Nous avons été édifiés ces deux derniers jours, au sujet de l’arrière-plan du texte fabuleux qui est à la base de notre préparation à la célébration de Roch Ha-Shana qui nous introduit dans cette nouvelle année du calendrier hébraïque.
Ce n’est pas un hasard que cette période de l’année, correspond à la rentrée académique du calendrier grégorien auquel nous souscrivons dans notre timing et organisation temporelle.
Dans une perspective prophétique, la période qui inaugure l’année académique avec la rentrée professionnelle comme scolaire et universitaire, après des mois de vacances, correspond à une nouvelle saison, à l’opportunité pour chacun de nous, après une introspection, les remises en cause nécessaire, les bilans des activités de l’année dernière ou de la période antérieure, de s’ouvrir à de nouvelles perspectives…
D’expérimenter de nouveaux commencements, de prendre des nouvelles résolutions et de s’attendre à de nouvelles faveurs et grâces de la part du Dieu d’amour, qu’est l’Éternel Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ.
Je crois que ces vérités sont inscrites dans la bible, et un de mes textes favorise qui expriment véritablement cette réalité est le suivant: « Ce Dieu, dans les âges passés, a laissé toutes les nations suivre leurs propres voies, quoiqu’il n’ait cessé de rendre témoignage de ce qu’il est, en faisant du bien, en vous dispensant du ciel les pluies et les saisons fertiles, en vous donnant la nourriture avec abondance et en remplissant vos cœurs de joie »
(Actes;14:16-17).
Pouvons-nous intégrer, dans la suite logique des principes bibliques que nous avons partagés ces deux derniers jours, que ces vérités éternelles font parties des petites choses comme dès moindre qui sont à notre portée et non au-delà de nos forces?
Continuons notre méditation, en nous appuyant sur l’arrière-plan original de notre texte introductif : « Il n’est pas dans le ciel, pour que tu dises: Qui montera pour nous au ciel et nous l’ira chercher, qui nous le fera entendre, afin que nous le mettions en pratique? » (Deutéronome;30:12).
Nul besoin de projection astrale, ou de sortir en vampire, toutes ses choses sont du domaine de la sorcellerie. Nous n’avons pas à faire preuve d’un mysticisme excessif, ni d’une spiritualité gênante ou bruyante, qui rend la vie impossible à nos contemporains, parce que prétextant vouloir montrer que nous sommes parvenus à des hauteurs spirituelles inégalées.
Une fois encore, en matière de réalisation, d’accomplissement de nos desseins, de mise en œuvre de nos projets, rappelons-nous toujours que: « Les cieux sont les cieux de l’Éternel, Mais il a donné la terre aux fils de l’homme » (psaumes;115:16).
Notre juridiction est sur terre, c’est le lieu où Dieu nous a établi. Il entend défendre et manifester sa gloire au milieu de ses enfants qui croient en lui, qu’à la condition que nous lui fassions un sanctuaire, nous œuvrons à achever, en faisant preuve de créativité, d’ingéniosité, d’intelligence, ce qu’il a commencé depuis la création, pour maintenir la terre, nos maisons, nos foyers, nos familles, nos églises, nos nations, dans le label du jardin d’Eden, en œuvrant à un environnement paisible, tranquille, prospère, harmonieux, qui participe à la bénédiction et au bonheur des humains.
Cet avertissement plus qu’une question corrobore, renforce et confirme ce qui vient d’être dit plus haut et est d’une actualité certaine, à nous d’y attacher une importance capitale et d’en prendre garde: « Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi: Ne dis pas en ton cœur: Qui montera au ciel? c’est en faire descendre Christ » (Romains;10:6).
Soyez hautement favorisés.
Bonne réflexion; Shalom!